dans Reporterre :
Dans le monde du 8 Avril
L’éditorial : ICI
15 janvier Les megabassines avec Reporterre et France inter La Terre Au Carré
18 décembre…
dans l’Ondaine…
le 4 mai 2023 sur France inter alerte sur l’eau du robinet
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les réseaux…à améliorer
dans le Progrès du 1er avril 2023, ce qui n’est pas un poisson !
Les barrages du Roannais remplis à 70 % : « Un taux historiquement bas »
Malgré les pluies du mois de mars, les deux barrages de Renaison sont encore loin d’être remplis. Ce qui oblige la Roannaise de l’eau à demander des dérogations quant à la quantité d’eau que le syndicat doit restituer en aval des barrages.
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dans alternatives économiques :
extrait : sur les bassines une bataille d’experts
Bataille d’experts
La bataille juridique se joue notamment au niveau de la qualité (ou non) des études d’impact. Et en la matière, les défenseurs du projet peuvent se targuer d’un atout important : un rapport du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) de juin 2022 commandé par la Coop de l’eau 79.
Selon cet établissement public français de référence sur le sujet, le projet des 16 bassines en Sèvre niortaise pourrait améliorer le débit des cours d’eau de 5 à 6 % en été. C’est précisément ce que défendent les pro-bassines : prélever de l’eau en hiver pour ne pas avoir à la prélever en été, et ainsi soulager les cours d’eau à cette époque délicate.
Les opposants ne désarment pas pour autant. Le collectif Bassines Non Merci a publié un contre-rapport critiquant les résultats de l’étude. Anne-Morwenn Pastier, docteur en sciences de la Terre et spécialiste du cycle de l’eau, a rejoint le collectif l’année dernière.
Sans remettre en cause le travail scientifique du BRGM, elle estime ainsi que le document ne peut être considéré comme une « preuve robuste ». Pour elle, le modèle utilisé n’est pas assez précis spatialement et les données utilisées trop anciennes :
« Ils ont fait tourner le modèle sur les années 2000-2011. Or, cela ne correspond pas aux projections liées au réchauffement climatique pour les prochaines années. »
« Cela répond à une question dans le passé », renchérit Sylvain Kuppel, chercheur en hydrologie à Toulouse, membre du collectif Scientifiques en rébellion. Pour lui, l’utilisation du rapport du BRGM est une instrumentalisation de résultats scientifiques :
« Lorsque le ministre de l’Agriculture prend ce rapport en exemple pour assurer que « les études scientifiques disent que c’est bon », ce n’est pas vrai. »
Dans un communiqué de presse récent, le BRGM a répondu à plusieurs de ces critiques, rappelant au passage que le travail qu’il a rendu au porteur de projet répondait à une commande précise et ne prétendait pas constituer « une étude approfondie ni une étude d’impact de toutes les conséquences possibles des prélèvements d’eau envisagés ».
Au-delà de cette étude, les opposants au projet dénoncent les conséquences néfastes du stockage de l’eau (évaporation et exposition aux cyanobactéries, qui peuvent se développer dans les eaux douces stagnantes), un impact environnemental important (dégradation du réseau hydrologique et de la biodiversité qui y vit) ainsi qu’une privatisation de l’eau au profit d’une agriculture dite industrielle.
« Les mégabassines nourrissent un modèle agricole productiviste qui sert à l’exportation, juge Marie-Pierre Répécaud, secrétaire nationale de la Confédération paysanne. On est loin de la souveraineté alimentaire que l’on nous promet. D’autant qu’il ne sert qu’une minorité d’irrigants. »
La Coop de l’eau 79, elle, assure qu’un quart des agriculteurs du secteur auront accès à l’eau retenue.
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sur la radio RCF : interview du géographe Hervé Cubizolle le lien ICI
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la gestion de l’eau revient au public, à Lyon… émission sur France inter le 2 janvier.
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29 minutes sur france culture, de questions actuelles sur l’eau samedi 29 octobre 2022 écouter«
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Complément d’enquête « L’eau du robinet est-elle (vraiment) potable ? » sur france.tv
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22/09/2022, dans Le Monde la question de la qualité pesticides en excès! lien vers l’article
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21/09/2022 dans Reporterrre, la tarification sociale et écologique à Dunkerque
19/09/2022
dans le quotidien le Monde du 19/09/2022 … Nestlé pompe trop dans les Vosges
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aurions nous imaginé qu’une commune de la Loire manque d’eau potable cet été?
https://www.leprogres.fr/environnement/2022/09/14/belmont-a-sec-la-saone-et-loire-a-la-rescousse
La sécheresse… dans la Loire aussi. article du progrès du 23 juin ICI
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La nouvelle ligne de partages des eaux !
Les gouttes de pluie qui tombent sur l’agglomération vont soit dans la méditerranée, soit dans l’atlantique…. et côté marchés et délégations de service public, soit à la SAUR soit à SUEZ !
l’eau potable sera gérée par la SAUR… alors que SUEZ via la stéphanoise des eaux gérait cela.
La SAUR gérait l’assainissement, et la nouvelle régie fait appel à SUEZ…
étonnant non?
voir les article dans IF, suite
Pas de dogmatisme dans ces choix… régie, mais avec combien de millions d’euros au privé ?
les jardiniers sont aussi confrontés à des problèmes d’eau…article du Progrès du 20 mai
Usage de l’eau pour l’agriculture, dans la Loire…
l’irrigation et les retenues collinaires, pour quelle agriculture? Dans le Progrès mi-mai :
les retenues, une solution ? et le partage de l’eau entre diverses agricultures
dégradation des terres, aussi une question d’eau, et de modèle agricole :
article du monde du 29 avril ICI (2 pages à télécharger)
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émission à réécouter :
28 mars 2022 dans le progrès
Fleuve Loire : « Les enjeux se croisent avec la Haute-Loire »
La pollution se cristallise dans les barrages mais commence dès les premières activités humaines aux abords de la source : « En Haute-Loire, on ne se rend pas forcément compte que tout va se retrouver à Grangent. »
Notre enquête
Comment en étant aussi proche de la source, l’eau de la Loire peut-elle être aussi polluée ? Nous avons voulu comprendre, au fil du fleuve, les différentes problématiques, de la source jusqu’à ce qu’elle quitte le département de la Loire. Jusqu’au jeudi 31 mars, découvrez notre enquête. Aujourd’hui, pollution accumulée et problèmes enfouis.
Le territoire du SAGE (Schéma d’aménagement et de gestion des eaux) Loire en Rhône-Alpes englobe une grande partie de la Loire et certains territoires de Haute-Loire, du Puy-de-Dôme et du Rhône. « Nous fixons les priorités de gestion pour toutes les gouttes d’eau qui se jettent dans la Loire de Bas-en-Basset à Roanne », explique Gonzague de Montmagner, animateur de la Commission Locale de L’Eau du SAGE (Schéma d’aménagement et de gestion des eaux) LRA.
« Depuis la Haute-Loire, on ne se rend pas forcément compte que tout va se retrouver à Grangent »
Le SAGE LRA est un outil de gestion issu de la politique de l’eau décentralisée par grands bassins. Il fixe les grands objectifs pour atteindre une bonne qualité des eaux : « Le SAGE est un outil qui permet de s’adapter aux spécificités de notre territoire qui s’étend sur 4 000 km² et environ 300 communes. »
Le SAGE a également une portée réglementaire : « En 2014, le SAGE a demandé que dans les grandes stations d’épuration, on passe l’abattement du phosphore de 80 % à 90 %. Nous devons faire une analyse de cette démarche, entre le coût et le bénéfice. Les dépenses sont contraintes par la nécessaire maîtrise du prix de l’eau. Il faut donc trouver où il sera le plus efficace de mettre l’argent. »
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Dans la métropole stéphanoise…. Une surprise à quelques jours de la semaine mondiale de l’eau ! !
et avant le conseil métropolitain du 24 mars ! ! ! les infos sont dans le quotidien le Progrès ! !
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dans le progrès de mars, un dossier sur l’eau de jean Philippe Vigouroux
« L’eau potable est indispensable. Et soumise à de rudes épreuves. La préserver est une urgence. Pour l’Homme autant que pour la nature. Fidèles à notre engagement, nous vous présentons ce mois-ci des initiatives concrètes et vertueuses, dans notre région et au-delà. Il est question de ces pêcheurs anonymes, premières sentinelles des rivières de l’Ain. Mais aussi des PCB, ces polluants quasiment chassés du Rhône mais difficiles à éradiquer. »
lien vers le dossier ICI
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Suez Véolia… fin de partie, cliquez sur l’image ci-dessous pour télécharger l’article d’Isabelle Chaperon dans le Monde du 18 janvier 2022
Dans Alternatives économiques de janvier…le problème des bassines en Vendée
cliquez sur l’image titre pour télécharger l’article
pas une info, mais une PUB
le rapport annuel disponible sur le site mentionné, par plus de performance boursière ! !
en île de France, des marchés et des enjeux énormes…
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dans le Progrès du 23 Août : alerte sur la question de l’eau
du point de vue d’une organisation agricole ici
du point de vue d’une association de pêcheurs ici
article en ligne de Reporterre le 15 juillet ici extrait ci-dessous :
« Raréfaction qualitative », accaparement par des intérêts privés, pollution… La commission d’enquête sur l’eau sort un rapport alarmant sur l’état de cette ressource en France. Elle appelle le gouvernement à la considérer comme un bien commun. C’est un pavé de 316 pages jeté dans la mare du gouvernement. À l’arrivée, le rapporteur de la commission, le député La République en marche (LREM) Olivier Serva, estime que « les intérêts privés peuvent entrer en collision avec les objectifs d’une gestion collective de la ressource et de la distribution de l’eau, si l’État ne garantit pas des règles du jeu claires, transparentes et équitables ».
26 mai : Le suivi de média en ligne IF lire ici
Eau potable et santé. Le problème des pesticides. lire l’article du nouvel observateur avril 2021
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La sous traitance dans le service public… lire l’article d’Alternatives économiques de juin 2021
question : dans le cadre de la DSP pour l’eau potable… qui prévoit de sous traiter des missions pour la régie d’eaux brutes,
- quel sera le coût pour Saint-Etienne Métropole ??
- qu’ elle sera la part de maîtrise perdue par Saint-Etienne Métropole ? ? ?
Une réflexion sur le contexte général : la sous traitance dans l’action publique de l’Etat. art de Médiapart du 18 mai… et pour le dossier de l’eau qui reste en régie (eau brute et assainissement) quelle sous traitance ? à examiner de près…
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le Progrès 15 mai
Veolia/Suez : un « accord définitif de rapprochement » enfin conclu
Veolia et Suez ont annoncé avoir signé ce vendredi « un accord définitif de rapprochement », qui permettra au premier d’acquérir une large part du second.
C’est l’épilogue d’une longue bataille. Les deux poids lourds français de l’eau et des déchets Veolia et Suez ont enfin scellé ce vendredi l’accord qui verra le premier mettre la main sur une bonne part du second.
Veolia et Suez ont annoncé avoir signé « un accord définitif de rapprochement ». L’accord garantit « un périmètre industriel et social cohérent » pour les activités restantes de Suez.
Un accord de principe a par ailleurs été signé entre les deux groupes et un consortium d’investisseurs constitué des fonds Meridiam et GIP, ainsi que de la Caisse des Dépôts (avec sa filiale CNP Assurance), qui rachèteront ce « nouveau Suez », indique le communiqué.
Veolia devient un « champion » du secteur
Les deux groupes, engagés dans une bataille épique autour de l’OPA de l’un sur l’autre, avaient signé un armistice le 11 avril, se donnant jusqu’au 14 mai, ce vendredi, pour formaliser leur accord. Veolia absorbe une bonne part de Suez, pour devenir un « champion » du secteur pesant 37 milliards d’euros.
Le deal prévoit aussi qu’il cède assez d’actifs pour maintenir un Suez indépendant, représentant 6,9 milliards d’euros, soit moins de la moitié du groupe actuel, concentré sur la France, et qui sera repris par de nouveaux actionnaires.
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Véolia / Suez article du Monde le 15 mai lire
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Le travail débuté par la convention citoyenne présenté dans le progrès du 19 avril. cliquez sur l’image pour le lire
dans Marianne le 16 avril les maires écolos face à la « remunicipalisation » lire ici
Extrait du quotidien Le Monde. 13 avril Suez Véolia
L’opération entre les numéros un et deux mondiaux des services à l’environnement doit être définitivement conclue d’ici au 14 mai, avant d’être soumise à l’examen d’une vingtaine d’autorités de la concurrence, dont celle de la Commission européenne.
Les deux groupes resteront en concurrence
L’opération doit être définitivement conclue d’ici au 14 mai, avant d’être soumise à l’examen d’une vingtaine d’autorités de la concurrence, dont celle de la Commission européenne. Elle laisse subsister dans le paysage deux groupes aux profils très différents, qui resteront en concurrence sur le marché hexagonal (avec la Saur) et dans les quelques pays étrangers où Suez pèsera encore.
D’un côté, le mastodonte Veolia, présent sur cinq continents dans l’eau, les déchets et l’énergie, fort d’un chiffre d’affaires de 37 milliards d’euroset de 220 000 employés ; de l’autre, un « nouveau Suez », qui gardera une forte empreinte nationale, des actifs dans les technologies de l’eau et une présence sur quelques marchés importants (Chine, Inde, Australie, Italie…), avec 40 000 salariés et une activité de 7 milliards d’euros(contre 17 milliards en 2020), qui doit néanmoins lui permettre de se développer sur les secteurs de l’eau et des déchets complexes….
Suez avec 40% de capitaux d’un fond de pension des USA??
Le Progrès du 8 avril annonce la convention citoyenne sur l’eau
L’eau à vendre… pas en France, mais c’est un marché lucratif… la BNP Paribas est dans les acteurs… voir l’article du monde du 3 avril 2021
à France bleu Saint-Etienne / france 3 le 23 mars revoir
dans le périodique de Saint-Etienne Métropole l’eau est en débat
crainte de la PME Cholton sur les futurs marchés dans le progrès 25 02 2021
Dans Marianne ce lundi 22 février, autour du sujet Véolia Suez , des conseillers… bien rémunérés
L’eau sujet majeur en 2021… Le Progrès du 17 février, y consacre un dossier de 16 pages…
article du 11 février magazine IF rédaction Xavier Alix
Duel Véolia Suez… Bon pour l’usager à qui l’ on parle de saine concurrence entre opérateurs?
et une reprise de l’information dans le Progrès le 9 février
Négocier ou municipaliser ?
article du 6 février à télécharger
article du 2 février à télécharger
article du 29 janvier